Humour - Police / militaires



Deux policiers trouvent un cadavre devant un lycée.
Le premier demande à l'autre :
- Dis donc, comment tu écris "lycée" ?
L'autre réfléchit un instant puis répond :
- Traînons-le devant la poste.



Pourquoi les flics chinois sont toujours par trois ?
- Un qui sait lire et qui lit le numéro de la plaque de la voiture en stationnement interdit.
- Un qui sait écrire et qui marque le numéro sur le PV.
- Le 3ème est là pour surveiller ces deux dangereux intellectuels ...



C'est un général suisse qui dit à ses troupes :
- Demain matin, on envahit la Russie !
Les soldats se regardent, ébahis.
Le général gueule :
- Pas de question ?
Alors un soldat lève le doigt et demande :
- Et on fait quoi l'après-midi ?



L'administration veut savoir qui des trois organismes qu'elle finance pour attraper les criminels est le plus efficace.
On lâche dans 3 bois différents un lapin. Charge à chacun de retrouver le sien.
Les espions de la DST placent des micros, engagent des lapines bien roulées, soudoient des renards, truffent des carottes, font de l'intox dans les clairières, interrogent discrètement les plantes et les cailloux, après 3 mois d'enquête, ils concluent : "l'affaire est close, ce lapin n'a jamais existé".
Le GIGN arrive, encercle le bois, fait une sommation rapide et mitraille tout, fout le feu au bois, saccage toute trace de vie. Tous fiérots et sans s'excuser (alors qu'une certaine presse prétend avoir les photos du lapin les bras en l'air), les ninjas arborent le cadavre carbonisé du lapin et déclarent : "Mission accomplie".
La police arrive avec son panier à salade, fait une rafle dans une clairière et se ramène le lendemain matin avec un blaireau bien amoché qui dit : "OK, d'accord, je suis un lapin."



Sur l'autoroute qui va de Bruxelles à Paris, un belge se fait contrôler à 250km/h à la hauteur de Valenciennes.
Il se fait arrêter immédiatement et le gendarme s'adresse au contrevenant dans ces termes :
- Bonjour Monsieur, vous venez d'être contrôlé à 250km/h. Veuillez me montrer les papiers du véhicule et votre permis de conduire.
Le Belge : - Non.
Le gendarme : - Comment ça, non ? Alors soufflez là-dedans !
Le Belge :- Non.
Le gendarme : - Bon ben ouvrez-moi le coffre.
Le Belge : - Non.
Alors là, le gendarme n'en peut plus. Il va rendre compte à son supérieur l'adjudant-chef.
- Mon adjudant-chef, j'ai là un particulier qui refuse d'obtempérer à tout ce que je lui demande.
L'adjudant-chef : - Laissez, je m'en occupe.
- Alors il paraît que vous refusez d'obtempérer aux injonctions du maréchal des logis ! Montrez-moi vos papiers.
Le Belge :- Pas de problèmes. (Il sort ses papiers.)
L'adjudant-chef : - Soufflez là-dedans.
Le Belge :- Pas de problèmes. (Il souffle.)
L'adjudant-chef :- Ouvrez-moi le coffre.
Le Belge :- Pas de problèmes. (Il ouvre le coffre.)
L'adjudant-chef :- Alors là, je ne comprends pas, mon collègue m'a dit que vous avez refusé de faire tout ce qu'il vous demandait !
Le Belge :- Alleï, vous n'allez pas le croire parce que dans une minute il va vous dire que je roulais à 250.



Un agent de circulation est en train de montrer par l'exemple à son petit garçon, la façon dont on dirige le trafic à une intersection. Au bout d'un moment, une grande Mercedes noire s'arrête à leur côté, le type de l'intérieur de la bagnole baisse la vitre et demande :
"Do you speak English ?"
L'agent hoche la tête négativement.
"Sprechen Sie Deutsch ?",continue le conducteur de la Mercedes.
Même hochement de la part du gardien de la paix.
"Lei parla l'italiano ? Habla usted espanol ? Vy govorite po ruskii ? Anata wa nihongo wo hanasemasuka ? Parla vos interlingua? Milate Ellinika ? Beszel Magyarul ? Govorish li balgarski?"
Toujours la même réponse désespérément négative du flic. Le type se fâche alors et démarre en trombe. à ce moment-là, le petit dit à son papa :
"Hé, papa, t'as vu combien de langues parlait le monsieur ?"
Et son père lui répond : "Ouais, mais t'as vu que ça ne lui a servi à rien !"



L'autre jour, je sors de chez le boulanger et j'aperçois un motard de la police fédérale en train de rédiger un PV de stationnement.
Je m'approche et lui dis :
-" Je ne suis resté que cinq minutes chez le boulanger. Ne pouvez-vous pas annuler cette contravention ? "
Il m'ignore superbement et continue à écrire.
-" Con d'emmerdeur ", ne puis-je m'empêcher de lui dire.
Et voilà qu'il dresse un autre PV pour absence de plaque réfléchissante à l'avant du véhicule. Mon sang ne fait qu'un tour et je l'engueule copieusement :
-" Gros Nul, Playmobil raté, sous-produit de débile, pet de vache, impuissant, analphabète, hémorroïde hypertrophiée ... "
Ah, là, j'ai bien utilisé les richesses de mon vocabulaire. Cela continue encore un quart d'heure, et le flic, sans sourciller, continue à mettre des contredanses sous l'essuie-glace au point qu'il n'y avait pratiquement plus de place sur le pare-brise.
Je constate que tout cela ne nous mène à rien et je jette l'éponge.
Puis je me rends tranquillement à ma voiture, garée deux rues plus loin ...



Dans l'armée, pour les uniformes il y a deux tailles : trop grand et trop petit.



A la caserne :
Le lieutenant : "Soldat, vous avez la monnaie sur 10F ?"
Le soldat : "Sans problème, mon vieux."
Le lieutenant : "Ce n'est pas comme ça que l'on vous a appris à vous addresser à un officier ! Nous allons recommencer."
Le lieutenant : "Avez-vous la monnaie sur 10F ?"
Le soldat : "Non, mon Lieutenant !"



- Monsieur le commissaire, annonce un mari éperdu, je viens vous déclarer la disparition de ma femme. Elle était sortie pour promener le chien et voilà une semaine qu'elle n'est pas rentrée à la maison.
- Pouvez-vous me donner son signalement ?
- Euh.. Elle est rousse. Non, blonde ... Pas très grande ... Pas vraiment petite, non plus ... et elle a les yeux verts. Non, bleus ... Non, verts, verts ... Enfin je crois.
- Bien, dit le commissaire en soupirant. Et le chien, il état de quelle race ?
- Briard. Soixante-cinq centimètres au garrot, poil fauve clair, truffe noire, yeux marrons foncés, légère cicatrice sous le menton, numéro de tatouage VRZ 985 ...



C'est l'histoire d'un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste en face d'où il habite ... Il décide de téléphoner au commissariat ...
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- à la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée! [clac!] (ça c'est le flic qui raccroche)
Cinq minutes plus tard :
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- à la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée! [clac!] (ça c'est le flic qui raccroche)
Puis encore cinq minutes plus tard:
(c'est fou ce que c'est pratique ces fonctions "copier-coller" :-) )
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous ?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- à la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée! [clac!] (ça c'est le flic qui raccroche)
Enfin, UNE HEURE PLUS TARD:
[dring-Drrrrring] (ça c'est le re-téléphone qui sonne chez les flics ;-) )
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- à la rue Garibaldi?
- Ouiiiiiii! A la rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Garibaldi!
- Mais il fallait nous le dire plus tôt ! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?
- Il a ff..ff..ffallu qu..qq..q.que j.. je. jj..j que jj.. que je le déplace !



Une belle voiture traverse le pont de Tancarville. Au bout du pont, un motard de la Gendarmerie est au milieu de la route et fait signe au conducteur de s'arrêter.
Le gendarme presse poliment tous les occupants de la voiture de descendre.
A ce moment-là, le conducteur baisse sa vitre et demande :
-Que se passe-t-il ?
Le gendarme répond : "Mes félicitations : Vous êtes le conducteur idéal. Cela fait plusieurs heures que nous vous suivons, et votre conduite a été irréprochable. La gendarmerie Nationale a donc décidé de vous attribuer le prix du meilleur conducteur. C'est-à-dire un prix d'un montant de 10.000 Frs."
Le conducteur, rassuré sur son sort répond "- Formidable , alors !"
Au moment de remettre l'argent au conducteur, et de faire quelques photos, les journalistes présents demandent :
"Qu'allez-vous faire de tout cet argent ?"
Le conducteur encore euphorique répond : "Peut-être que je vais pouvoir me payer les leçons pour le permis de conduire maintenant!"
La femme du conducteur le reprend: "Ne l'écoutez pas Monsieur, il ne sait pas ce qu'il dit, il a bu"
Et le grand-père à l'arrière ajoute : "Je savais bien qu'on aurait que des ennuis à rouler dans une voiture volée ..."



C'est une vieille dame qui appelle le commissariat pour se plaindre :
- Venez vite chez moi au (suit son adresse), il y a un satyre qui se promène tout nu !
Les gendarmes arrivent chez la vieille dame et demandent :
- Alors où il est ce satyre ?
- Dans le jardin en bas de l'immeuble
(Le brigadier chef se penche à la fenêtre)
- Mais... Tout ce qu'on peut voir de lui c'est son cou et sa tête. Le reste du corps est caché par la haie !
- Non, ce n'est pas vrai ! Montez sur le réfrigérateur et vous verrez bien !



C'est à l'armée que ça se passe : un garçon de ferme un peu benêt va faire son premier saut en parachute.
Le sergent lui fait les dernières recommandations avant le grand saut dans le vide :
- Tu vas sauter en automatique. C'est-à-dire que la tirette de ton parachute dorsal sera automatiquement tirée lorsque tu sauteras hors de l'avion.
Cependant, si rien ne se passe, tu tireras la tirette de ton parachute ventral et tout ira bien.
Une fois que tu auras atterri, un camion passera te prendre pour te ramener à la base.
Alors la recrue respire un bon coup et se lance dans le vide.
Mais au bout de 10 secondes, aucun parachute ne s'est ouvert.
Alors le gars tire la poignée de son ventral, mais là encore, rien ne se passe.
La malédiction, quoi. Forcément, le gars regarde le sol arriver à vitesse grand V et il se dit :
- Ouais. Au train où vont les choses, vous allez voir que le camion de ramassage ne sera pas là lui non plus.



On vient d'amener au commissariat de police un type ayant à son actif un nombre incroyable d'accidents de la route et d'infractions en tout genre.
Très énervé, le policier s'adresse à l'automobiliste :
- Mais enfin, rendez-vous compte qu'en trois mois outre les mauvais stationnements, les excès de vitesse et le reste, vous avez renversé 19 personnes ?
- Non, vous vous trompez, j'en ai renversé 17 seulement car il y en a une que j'ai renversée 3 fois.



Dans une région ravagée par le choléra, un officier du service de santé de l'armée visite une caserne.
Il interroge un sous-officier :
- Quelles précautions observez-vous pour rendre l'eau potable ?
- Eh bien, d'abord nous la filtrons.
- Très bien. Et après ?
- Nous la faisons bouillir.
- Parfait. Et ensuite ?
- Pour ne courrir aucun risque, nous buvons de la bière !



Un agent de la circulation interpelle un automobiliste qui vient de brûler un feu rouge d'une façon particulièrement déterminée. Le policier ne cherche même pas à entamer le dialogue et déclare :
- Garez votre véhicule sur le côté et suivez-moi au poste tout de suite pour régler cela !
L'homme a beau essayer de s'expliquer, rien n'y fait. Le policier véritablement zélé l'emmène au poste et le jette au fond d'une cellule en précisant :
- Vous allez attendre le chef ici. ça vous aidera à réfléchir sur le danger que représente votre conduite pour les autres usagers de la route et les piétons !
Et il referme brutalement la porte de la cellule. Il revient quelques heures plus tard apporter un verre d'eau à l'incarcéré.
- Et encore, précise le policier, malgré votre stupide comportement, vous avez de la chance aujourd'hui. Le chef est au mariage de sa fille. Il sera certainement de bonne humeur quand il rentrera.
Et l'homme répond :
- Pas sûr ... c'est moi le marié !



Un policier arrête un automobiliste et lui demande de souffler dans l'alcootest.
- Jamais ! proteste le conducteur, outré, je n'ai aucune raison de souffler là-dedans !
- Alors, dit le policier, je vais compter jusqu'à trois, et si à trois vous n'avez toujours pas obtempéré, je le ferai à votre place et là, croyez-moi, vous allez perdre au moins cinq points.



Aux états-Unis, un jongleur qui travaille dans un cirque vient de se faire arrêter par la police alors qu'il conduisait sa voiture. Le policier demande :
- Qu'est-ce que c'est que tous ces couteaux dans votre voiture ?
- C'est parce que je suis jongleur dans un cirque. Ils me servent pour mon numéro.
- Ah oui ? Eh ben montrez-moi ça un peu !
Alors le jongleur sort quelques couteaux et se met à les jeter en l'air et à jongler. Un autre conducteur qui passait à ce moment là voit le spectacle et dit à sa femme :
- Waow, je suis bien content d'avoir arrêté de boire : regarde les tests d'alcoolémie qu'ils obligent à faire maintenant ...



Le sergent-instructeur d' une compagnie de parachutistes avertit les nouvelles recrues :
- Le règlement m' oblige à vous signaler que la proportion des accidents mortels est de un pour mille ... De toute façon, cela ne vous concerne pas, puisque vous n' êtes que trente.



( un grand classique ... )
L'histoire se passe au pays des esquimaux. L'un d'eux est suspecté d'avoir commis un meurtre.
En ce moment-même, il est interrogé dans le commissariat central.
Policier :
- Alors que faisiez-vous dans la nuit du 23 septembre au 21 mars ?



( du même genre : )
Un esquimau a donné un rencard à une copine. Celle-ci tardant à venir, il sort son thermomètre et dit :
- Si à moins dix elle est pas là, j'me tire !



- Je cherche quatre hommes qui aient du goût pour la musique, dit l'adjudant.
Flairant une occasion de passer une après-midi tranquille, tous les tire-au-flanc lèvent la main.
- Bon, vous, vous, vous et vous, désigne l'adjudant. Allez au foyer et transportez le piano jusqu'à l'appartement du commandant.



Pendant la deuxième guerre mondiale, aux états-Unis, une dame de la haute société avait décidé de soutenir l'effort de guerre en invitant quelques valeureux p'tits G.I. qui allaient bientôt partir au casse-pipe à manger chez elle.
Elle appelle la base militaire toute proche et demande à parler au Major. Au Major, elle dit :
'Major, pourriez-vous me trouver trois jeunes militaires qui seraient susceptibles de dîner ce dimanche soir à ma table. Mais de grâce, faites qu'aucun d'eux ne soit juif.'
'C'est bien compris, Madame,' répond le Major.
Et nous voilà le dimanche soir. Sur le seuil de la porte de la dame se tiennent trois jeunes militaires en tenue impeccable, tous les trois sont NOIRS.
'Bonsoir m'dame. Nous sommes ici sur votre invitation'
La dame est abasourdie. Elle en bafouille :
'Mais, mais.... le Major a du faire une erreur!'
'Oh, non M'dame, le Major Cohen ne fait jamais d'erreur' répondent en chœur les G.I.



A l'armée, pendant les 'classes', le sergent fait passer aux recrues un test de lecture.
C'est au tour du frère de Toto :
- Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin mar...cheux
- Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon !
- Comment ça sergent ?
- Parce qu'un wagon lit ( là, tout le régiment rit du gars )
Un peu plus tard, Exercices de groupes. Le Sergent lance :
- Rompez !
Tout le monde rompt, sauf le frère de Toto ...
- Soldat! J'ai dit rompez
- Je ne peux pas, Sergent !
- Pourquoi ?
- Parce qu'un wagon reste au rang !



Un policier doit faire un constat apres un accident de voiture.
- la tête .... sur la rue (il note)
- le torse ... sur la rue (scritch scritch papier!!!)
- la jambe droite ... sur la rue (encore scritch!)
- la jambe gauche ... sur la rue ( toujours scritch!)
- Ah ! ... le bras droit est sur le trottoir.
Il note :
"bras droit sur trop toar (crot) traut tar (zut) trop toir (corneguidouille) ..."
Finalement, il s'enerve et donne un grand coup de pied dedans ...



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